JALBERT ADRIENNE

Les sphères d'Adrienne Jalbert

Type
Œuvre unique
Technique
Peinture
Dimensions
Sur demande
Encadrement
Non
Œuvre signée par l'artiste
À la demande
Certificat d'authenticité
À la demande
Description
ADRIENNE JALBERT et LES SPHERES Adrienne Jalbert expose à Tokyo, New York, La Valette, Palm Beach, Vienne, Londres… Elle est représentée dans de nombreux musées comme dans les collections particulières ou des sièges de grands sociétés internationales. Sa grande « Sphère de la Prospérité » a ouvert l’Année de la Chine sur les Champs Elysées, Les sphères d’Adrienne Jalbert ont ce coté énigmatique et apparemment serein de leurs sœurs de l’espace. Leur coté aérien convient au sujet. L’apparence masque la force, l’énergie enfermée, le feu intérieur. Le maillage de nœuds de métal qui définit la forme cache l’agressivité des matériaux, et comprime la matière qui ne demande qu’a exploser. La tension appliquée aux liens extérieurs capture les énergies internes et domine les forces anthropiques. ( communiqué de presse galerie L'Oeil et la Main, Paris) Les Sphères d’Adrienne Jalbert L’artiste Adrienne Jalbert crée, invente, élabore ses oeuvres et les place en événements dans le monde. Sa picturalisation - La Caverne Italienne, Les Oiseaux au Ciel du Nord, Colour World Sea - tantôt volante, tantôt fulgurante, expose une inquiétante personalité artistique. Mondialement connue et réputée par la multitude de ses oeuvres qui sont aux plus prestigieuses galeries et institutions de la planète, l’artiste exprime un mode personnel actif, fruit de recherches de formes et techniques. En sa pleine phase des Sphères, Adrienne Jalbert les élabore à partir de matériaux bien plus lourds qu’ils ne semblent être, et on les voit pourtant fluer dans l’espace. Sphères, symbole de totalité, comme dans un rotundus alchimique, lequel dans son unicité, part vers l’infini. La sphère est pour Platon l’image de totalité et perfection, tandis que pour Léonard de Vinci elle configure les éléments mêlés les uns aux autres; la sphère d’eau se mêle à la terre avec ses roches angulaires, concavités, vallées et montagnes. Dans des sphères transparentes demeurent des couples d’amants dans l’oeuvre Jardin des Délices, de Bosch. Pour le philosophe contemporain Peter Sloterdijk, la sphère première renvoie à la clôture du ventre, alors que les sphères mousseuses révèlent le chemin qui fit la monosphère devenir mousse dépourvue de centre, éphémère et vaporeuse. Les Sphères d’Adrienne Jalbert, de diamètres très variés, en fil de fer peint, laiton, cuivre émaillé, se trouvent dans des lieux très divers, jardins, rues, auprès de monuments, voire des installations au sein d’institutions religieuses/ patrimoniales telles La Madeleine et y ouvrent leur propre monde, tout en habitant le monde. Il existe la matière, la “chose” qui révèle le projet intellectuel de l’artiste. La forme incarne la matière et proclame l'ek-estasis, dans un profond engagement avec tout son entourage. Devant son tableau-sculpture La Sirène, on perçoit une préméditation chez Adrienne de la ligne de courbure pour la masse de l’objet. Les Sphères s’installent pour dévouer, glorifier et consacrer au monde, créent la spatialité, incorporent les lieux, réunissent l’entourage et habitent le monde. Elles sont clairement epoquales. Les Sphères d’Adrienne Jalbert fluent dans l’espace et semblent vouloir atteindre l’univers, ou les univers dyamiques de l’espace-temps cosmique où elles vivront. Oh! Admirable monde nouveau des Sphères, avec ou sans perles ni or, d’où proviennent de merveilleuses créatures. Neide Marcondes 01/2010 Professeur à l’Université de l’État de Sao Paulo (UNESP), Brésil Membre de l’Association Internationale des Critiques d’Art (AICA) Texte traduit du portugais par Fabio Luz

A propos de l'artiste

Painting, sculpture or design, my work is always inspired by nature- land, sea and sky/cosmos.

WHY THE SPHERES? Being round - that proverbial perfectr shape - spheres are indigenously harmonious entities. They fit in everywhere, integrating the spaces and elements of their surroundings. Standing or suspended, they also evoke freedom of movement, mystery, and a bit of magic. I first created a sphere for a public garden aiming to make a sculpture to which everyone could relate. A piece that would naturally share the environment of the magnificent nature of the park. A sphere was my logical choice.I became intrigued by the challenge of using rough, brute materials - not generally intended for roundness or delicateness. Gradually, I experimented with various strong metallic wires, which would exert their forces in the play of tension/counter-tension to make a round form. I wanted the wires to bring beauty and colour to the sphere. Eventually I worked with all types of metal wires and bars. Iron, bronze, brass, copper, stainless steel, aluminum, but also enameled copper, silver and gold. CoercIng lengths of wire into a perfect sphere, whie at the same time, allowing transparency thro\' the layers of curving wire presents an interesting challenge. The more transparency in the sphere, the more difficult it is to confirm the solidity/stability of its roundness. But the play of light on and within the sphere is joyous and magical.It is interesting to note the difference between ball and sphere. A sphere, like a ball is round, but unlike a ball whose surface is a solid, closed mass, the sphere confirms its roundness in a configuration of circles. The sphere - π3 R4 - is the structure maintaining the interior volume/ball. The spheric forms within my spheres are held in central suspension, creating sphere within sphere in sphere...